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On a probablement toujours chanté l’AMOUR.
Plaisir d’AMOUR, probablement la chanson française la plus
souvent enregistrée, en anglais également, paraît en 1784.
« Plaisir d’AMOUR ne dure qu’un moment, chagrin d’AMOUR dure
toute la vie ».
Et pourtant….
Et pourtant, la vitalité du répertoire français permet de ne pas
s’arrêter à cette sentence un peu déprimante de Jean-Pierre
Claris de Florian.
L’AMOUR dure trois ans selon Frédéric Beigbeder. Trois ans,
point barre. Certains sociologues parlent de 2 ans et les
superstitieux aiment à jouer avec le chiffre 7.
Et si l’amour ne durait que le temps d’une chanson ?
Juste ce moment où les papillons viennent à tourbillonner dans
l’estomac, où toutes les cellules du corps sont chamboulées,
saturées de neurotransmetteurs qui finissent en « -ine ».
Peut-être. Mais du baisé volé aux mains qui se frôlent dans un
cinéma, cet AMOUR-là est bien réel. Et il est probablement aussi
intense que ceux que l’on qualifie d’éternels.
Assurément, l’AMOUR est un moment, une histoire et comme toutes
les histoires, elle a un début, un milieu et une fin. On y trouve
les joies des premiers émois, les fantasmes de la personne
rêvée. On vit l’AMOUR ensuite et on découvre l’autre, en se
découvrant soi-même. Enfin l’histoire se termine, la mélodie
s’achève.
Faire ou refaire découvrir les beaux textes associés aux mélodies que l’on a en tête. Bien des chansons même parmi les plus connues méritent d’être écoutées, en les remettant dans leur contexte. Ainsi notre spectacle décrit comment est née la chanson et la personnalité de son auteur afin que les paroles prennent tout leur sens et se dévoilent au public. Le spectacle se veut intergénérationnel. Les amateurs de Piaf ou de Bénabar se retrouve autour du plaisir généré par l’écoute des belles mélodies et le partage des beaux textes.
Nous en sommes au 3e « opus » de notre projet. En novembre 2018 nous avions présenté « CETTE CHANSON ETAIT LA TIENNE » devant près de 600 spectateurs. En janvier 2020, nous présentions « C’EST UNE CHANSON QUI NOUS RESSEMBLE » devant près de 900 spectateurs. L’édition de janvier 2021 a été stoppée par le coronavirus quelques jours avant sa première. Nous l’avons reprogrammé en janvier 2022, une période difficile et restrictive qui pourrait décourager notre public. En outre, les coûts engagés pour l’édition 2021 perdue pèsent sur notre budget et les artistes engagés n’ont pu être que très partiellement rétribué. L’avenir de notre projet s’en trouve ainsi menacé…. Un coup de pouce serait fort bienvenu !
A défrayer les artistes engagés sur notre projet:
- Valentin Claivoz, accordéoniste
- André Vouilloz, pianiste
- Bernard Vouilloz, guitariste
- David Moret, metteur en scène
L’objectif est de pouvoir assumer un défraiement à hauteur de
CHF 150.- par service et par artiste.
Celà correspond au montant engagé à perte l’an dernier et consécutif à l’arrêt du projet pour raisons sanitaires à là mi-décembre 2020. Ce montant a été utilisé pour défrayer un de nos musicien (CHF 1’500.-) et financer l’effort publicitaire inutile (CHF 1’500.-).
La situation sanitaire actuelle nous laisse envisager une diminution notoire du nombre de visiteurs. Afin de garantir un salaire minimal décent aux musiciens (correspondant à CHF 150.- par service), un supplément de CHF 2’000.- serait fort bienvenu.
Stéphane Storelli pour le compte de l’Association LE ROSEGORGE
Hello ! Merci aux généreux donateurs… une petite relance s’impose afin de combler le manco dû à l’annulation des représentations des 19 et 20 janvier pour cause de COVID.