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Weshalb wir mit unseren Kühlfahrzeugen und überschüssigen, einwandfreien Lebensmitteln gerne soziale Institutionen wie zum Beispiel die Kirchliche Gassenarbeit in Bern anfahren, haben wir in unserem Magazin «tafelpost» vom Sommer 2018 aufgezeigt:

«Es braucht nicht viel, um in die Armutsfalle zu geraten und auf der Strasse zu landen. Es kann jeden treffen», weiss Eva Gammenthaler und hat uns als Mitarbeiterin der kirchlichen Gassenarbeit Bern in unserem Magazin «tafelpost» 2018 darüber erzählt. Häufig beginne es mit einem einschneidenden Erlebnis wie einen Jobverlust oder der Verlust des Partners. Das löse eine Kettenreaktion aus.

Bei Ruth, 57, die die kirchliche Gassenarbeit in Bern regelmässig aufsucht, löste ein Zeckenbiss gesundheitliche Problme aus. Heute bräuchte sie aufgrund einer Autoimmunerkrankung und Polyarthirtis medizinische Betreuung, doch nach einer langen Odyssee quer durch verschiedene Behörden von der IV sei ihr der (finanzielle) Hahn zugedreht worden.

Wer die Reportage in unserem Magazin lesen möchte, findet sie unter dem unten aufgeführten Link.

Wir danken allen, die unsere wertvolle Arbeit unterstützen und gerade jetzt über die Festtage an diejenigen Menschen denken, die nicht auf der Sonnenseite des Lebens stehen.

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«Il ne faut pas grand-chose pour tomber dans la pièege de la pauvreté »

Chers fans,

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Pour quelle raison Table Suisse collecte volontiers des aliments excédentaires d’une qualité irréprochable et les redistribue gratuitement à des institutions sociales comme la « Kirchliche Gassenarbeit de Berne » - voici un extrait de notre rapport dans notre magazine « tour de table » 2018 :

«Il ne faut pas grand-chose pour tomber dans la pièege de la pauvreté et finir dans la rue. Personne n’est à l’abri », résume Eva Gammentaheler de l’organisation « Kirchliche Gassenarbeit de Berne ».

Souvent, un événement décisif (perte du travail ou du partenaire) est l’élément déclencheur de la descente aux enfers. S’senuit alors fréquemment une réactionen chaîne.

Pour Ruth (57 ans) qui visite l’organisation régulièrement, tout a commencé par une inoffensive morsure de tique qui s’est finalement avérée dangereuse et qui lui a causé des problèmes de plus en plus importants. Il lui faudrait un suivi médical. Les conséquences de sa maladie auto-immune et sa polyarthrite la font souffrir. Après une longue odyssée d’une autorité à une autre, « on m’a retiré l’AI ».

Vous trouvez le reportage dans notre magazine « tour de table » 2018 sous le lien mentionné en-bas.

Nous remercions tous ceux qui soutiennent notre travail précieux et qui pensent en ce moment des fêtes à nous. Un petit engagement de personnes qui se trouvent du côté ensoileillé de la vie peut avoir tellement d’effets pour ceux qui, chaque jour, coivent de nouveau lutter pour conserver toutes leurs chances.